mercredi 13 octobre 2010

Je frôle.

Alors qu'hier encore, je me désolais de moi, j'ai appris que j'aurais pu ne plus être là. Des cendres, un feu, du brouillard noir. Comment réagir alors ? Hier dédaigner la vie, aujourd'hui avoir peur de la mort. Qu'aurais-je laissé ? Quelques moments de bonheur intense à vos côtés, éparpillés dans cet océan de rien, piqué de désespoir, de noir, d'ombres. Je veux crier la vie, je veux arracher cette pesanteur, cette perfection impossible et absurde. Etait-ce un signe ? Une alerte ? Pour me dire "Secoues toi !". Peu importe tout ca, ce faux, ces exigences, ces attentes dérisoires. Comment sortir de ce grand n'importe quoi ? Ne plus vivre à travers ces fantômes illusoires ? 

jeudi 7 octobre 2010

Chace Crawford



Je veux le même. Oui rien que ça.

Je voudrais que tu saches que ...



Je suis là. Je t'ai accompagné, je t'accompagne et je t'accompagnerai toujours dans ce combat si tu en ressens le besoin. N'oublies pas dans ces moments durs que tu n'es pas seule, que souvent quand tu me parles d'un de tes problèmes -oui pas tout le temps mais très souvent- j'ai ressenti la même chose, pas forcément pour les mêmes raisons, car chacun a son histoire, mais ces sensations, ces sentiments, trop souvent contradictoires, je les ai connu. Je veux te voir comme ces derniers mois, toujours souriante, avenante, "pétillante" comme Maude me dit, et sûre de toi, de ta personne. Fière aussi, car c'est toi qui a accomplit tout ce bout de chemin -oui on t'a aidée- mais c'est le résultat de ta volonté. 


 Tu es juste exceptionnelle
Je t'aime, ne l'oublies pas.

PS : VIVE LES BAISSES INVERSEES !

Comme ils disent là-bas : Best Friend Forever. Wesh Meuf


Il me plait de ne pas être dans la norme
Et de condamner les connes de ce type.
Je hais cette masse si pleutre et informe
Et la bouillie noire qui ronge leurs tripes.


mercredi 6 octobre 2010

Maude


Chut, c'est secret. C'est mon sanctuaire, loin de l'agitation superficielle, cet espace c'est le tien aussi si tu le souhaites.
Ca fait longtemps que je ne t'ai pas vue, seules, un long moment ensemble. Si tu savais à quel point j'aime quand on danse toutes les deux, que la foule s'efface, que le monde s'arrête et se dise : putain ces deux là ...
Ouais, j'aurais voulu leur briser le cœur, avec toi, que toutes les deux. Je voudrais être pour toujours Maude et Marianne, Marianne et Maude, nous deux, les pestes. Rien n'est finit mais j'ai quelques regrets. Comme ne plus être dans la même classe, comme ne pas habiter Paris toutes les deux, comme ne pas partir en vacances seules. Il y a des espoirs qui ne peuvent se faire, mais il y en a tellement d'autres qui ne demandent qu'à être réalisés ! Je suis un peu mélancolique à cet instant, c'est vrai. Je ne te dis pas "Je t'aime" tous les jours, mais sois bien sure que tous les jours je pense à toi, à ce que nous avons fait, et je souris alors de toutes mes dents. J'ai l'impression de ne pas avoir besoin de te voir parce que t'es toujours là, dans ma tête, dans mon cœur, et rien que de penser à toi me comble.
Pourquoi attendre ! Vite sortons ! Ouvrez la cage aux oiseaux ! Maude je veux danser, rigoler, boire, fumer, s'éclater, aller en boite, les allumer, mourrir en pleine rue à cause de tes blagues, qu'ils nous admirent comme toujours, je te veux toi, toi et moi, ensemble à jamais, à vie, à 89 ans, à l'infini.

Comment expliquer que mon amour pour toi n'admet pas de limite ? Et que dire d'autre qu'un simple "Je t'aime", si simple, si léger, mais gâché, souillé, bradé, car trop souvent dit, trop de mensonges ... Peu de personnes peuvent se vanter d'avoir une si belle amitié, moi je peux, moi je suis fière, fière de nous.

Juste Toi (L)

A vous